Présents dans les eaux usées, les perturbateurs endocriniens dérèglent les systèmes hormonaux des animaux aquatiques. Une équipe de l’Institut national de la recherche scientifique souhaite implanter un outil permettant de mieux évaluer les effets toxiques de ces produits chimiques.

Le problème avec les perturbateurs endocriniens est qu’ils ont des mécanismes d’action différents des polluants normaux. On ne va pas nécessairement observer d’effets toxiques intenses, mais une exposition constante à de faibles doses peut avoir des conséquences importantes sur la reproduction et les systèmes métaboliques.

Isabelle Plante, co-directrice du CIAPE

Notre directrice et co-directrice, Valérie Langlois et Isabelle Plante, ainsi que notre membre Julie Robitaille ont donné une entrevue à ce sujet au journal La Presse.